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Archive biographie texte 2015 réactualisé



Arrivé sur Terre avec une conscience fine, dans ce nouveau corps tout neuf, j’observais les adultes et me souviens avoir été interloqué par leurs comportements toxiques et dissociés. Domestiqués et civilisés je restais stoïque et traversant les premières saisons de la vie, je passais moi-même à la moulinette du formatage prérequis obligatoire jusqu’à l’âge adulte avec quelques traumatismes au passage, des blessures sacrées et l'expérience concrète du morcellement psychique, de la dissociation, de l'expérience de la maladie, et de l'initiation implacable de la mort.


J’ai jamais perdu contact avec ma conscience profonde bien que je me sois égaré dans les dédales de la vie d'être humain avec son lot de souffrances.


J'ai expérimenté les transgressions et à l'âge ou j'écris ces lignes je peux dire que j'ai cher payé mes dettes jusqu'à l'âge de la 40taine bien que ce soit le juste prix.


Quand ont naît avec un certain degré de conscience, ont paye beaucoup plus cher nos erreurs. Celui qui "pèche" sans conscience ( je parle pas en tant que chrétien établi) est jugé par l'univers en conséquence en premier lieu du degré de sa connaissance des lois spirituelles. ( à l'inverse du droit romain qui stipule que nul n'es sensé ignorer la lois)


Enfant dans le désarrois, je ressentais la pression de la société sur ce qu’elle juge être important et primordiale: devenir rentable et faire ce qui correspond au cadre établi en cultivant l'ignorance du bon sens et de la pensée unique au service d'une élite qui ne se soucie pas du Bonheur Intérieur Brut.


 

Après des premières années d'études ordinaires, ma vie active a commencé sans trop de motivation. Suite aux appels de l'âme, j’ai changé de direction. Après une Formation de 3 ans en Naturopathie, travaillant en parallèle dans un magasin de plantes médicinales et occupant un poste de conseillé en naturopathie et phytothérapies, j'ai poursuivi une formation en biologique et ethiologie pour comprendre plus en profondeur le fonctionnement du corps humain, ses mécanismes logiques et bio-logiques et somatiques.


En parallèle, et je respecte pas forcement à la lettre la temporalité, je rencontre par hasard le chamanisme Mexicain à l'âge de 20ans. (bien que j'avais déjà assisté a une cérémonie chamanique adolescent et Druidique un peu plus jeune...)


Un groupe de chamanes Mexicains offrait des soins et une conférence et cette rencontre fut un électrochoc.


15 jours plus tard j’étais au Mexique avec eux sur des sites extraordinaires : sur les sites des pyramides, du désert sacré du Wirikuta, des volcans, des temples sacrés immenses dans les montagnes dédiées au Quetzacualt ect et la rencontre d'une culture colorée, épicée, chaleureuse et joyeuse si loin de la grisaille culturelle.



 

Ce peuple est encore bien« enchanté » par sa qualité de cœur et une grande magie tellurique qui émane de sa terre rouge et cuivrée. En comparaison à la chappe de plond des égrégores maçonniques, ésotériques, politiques et historiques de chez nous, on peut sentir la puissance vitalisante et vibrante d'un pouvoir mystérieux et encore palpable sur ces terres Mexicaines. Une terre qui vibre clairement sous les pieds, pas besoin d’être un être spécial pour ressentir cette puissance.


Je suis tombé amoureux de ce pays et un jour dans le désert, lors d’une cérémonie initiatique avec l’énergie du grand père Mezcalito, je reçois mon 1er nom : « Camino de Venado » A ce moment-là une évidence émane de tout mon être : «J’ai trouvé ma voie ! » Pour la première fois je "chante". Je chante des chants sacrés et comprends la langue locale comme si quelque chose s’était déverrouillé dans mon cerveau. Lors de cette nuit initiatique qui restera gravé à jamais en moi, je me suis souvenu de qui j’étais avant ma naissance, du voyage de mon âme… A ce moment-là, l’un des chamanes au visage d’inca et à la stature gracieuse, m’a accueilli en me disant : « Bienvenue parmi nous, dans notre monde ». Cette phrase a résonné très fort dans mes cellules. J’étais chez moi, mon chemin prenait sens.


Je poursuivis ce chemin avec eux pendant 4 ans entre la France et le Mexique.


 

Avec le privilège de pouvoir les accompagner lors des soins qu’ils donnaient dans leurs différentes tournées en France, Apprentissage et observation avec « Luis » un chamane au faciès qui surprenait et impressionnait. En le voyant pour la première fois, généralement les personnes se mettaient à pleurer tant sa présence était forte et qu'il incarnait le visage des indiens d'un autre temps. Il travaillait avec la méthode peu commune des Sorciers de Weracruz (là-bas on nomme le guérisseur « un sorcier ») . Il nettoyait les personnes intégralement en frottant un œuf magnétisé sur leurs corps dans lequel il transférait le mal. Je devais pendant ce temps entretenir le feu et brûler l’œuf puis l’enterrer à la fin de chaque soins… Certains explosaient, d’autres chantaient et c'était une partie de la lecture de la personne et des énergies qui l’habitaient. Luis était dur et implacable avec moi… Et le jeune homme que j’étais, a appris beaucoup en sa compagnie.



J’ai rencontré en parallèle une autre grande chamane,


-EMA'A et avec elle, la Grand-mère de l’Amazonie.


Elle m’a formé pendant un bon moment puis je l’ai assisté pendant presque 7 ans. En ce qui concerne le chamanisme, elle était vraiment une virtuose sur certains aspects de sa pratique. J’ai fait plus de 500 cérémonies avec elle, avec de grand groupe et rencontré des milliers de personnes… Elle touchait énormément de monde de toute classe social confondues. Du médecin au RMIste en passant par le flics, l'artiste ect


Elle m’a encouragé très vite à me lancer et a reconnu la vocation d'homme médecine en moi…


Très jeune je réalise sous son appui mes premiers rituels : huttes à sudation, cérémonies botaniques.


Je réalise des parfums énergétiques et des élixirs chamaniques distribués principalement dans son réseaux. Nombre de professionnels les utilisaient : des ostéopathes, des guérisseurs, des psychologues….


J’ai reçu beaucoup de cadeaux et de dons du Grand Esprit, suffisamment pour me motiver, me donner la force de continuer la suite de la traversée initiatique qui m’attendait car je n'en étais là qu'à l'introduction...


Pendant cette période j’ai beaucoup transité entre la France et l'Amazonie. Je souhaitais aller à la Source et apprendre directement auprès des lignées de curanderos indigènes. J’y ai rencontré mes deux principaux maîtres : Alberto Réatégui et Don Daniel Arevalo.



-DON ALBERTO REATEGUI m’a fait travailler dans la lumière, la simplicité et la joie. Il m’a tout transmis comme si j’étais un fils.


J’ai été son disciple et eu la grande chance de le rencontrer au bon moment. Il était déjà vieux (83ans) et il était temps pour lui de transmettre. Malgré son âge, il avait encore la force mais plus pour très longtemps...


Avec sa belle médecine, j’ai vécu des moments de complicité et de joie magnifiques. Nous travaillions près de son village « Nueva Luz », dans une petite cabane entourée de ses plantes de chakruna et de killou killou ( l’ayamama ou le yagé jaune). Cette cabane où nous étudions à même le sol, était entouré de 4 poteaux portant un petit toit de feuilles de palmier et une moustiquaire.


Pendant les cérémonies il fumait le mapacho (tabac sacré) et c’était toute une ambiance ou je me sentais particulièrement privilégié d'assister à cela dans la nuit. Quand il tirait sur son cachimbo (sa pipe), le feu allumait son visage ridé derrière la fumée bleutée et violacé de ce tabac rustique de la forêt. Ses grosses mains aux doigts noueux en disaient tant sur sa vie… Des mains qui n’ont jamais cessé d’aimer et de donner. J’aime cet homme infiniment et j'ai beaucoup de gratitude.



-DON DANIEL , Par le biais de la tradition Shipibo de la dièta amazonienne d'apprentissage m’a fait travailler et visiter l'hombre. Julio, un vieil espagnol au caractère bien trempé qui me l’a présenté m’avait dit : « Don Daniel, il va te mettre la tête dans la vase et c’est comme ça que tu vas apprendre ! À la dure comme il a appris de son père et de ses ancêtres!


Selon la méthode de transmission des lignées des chamanes shipibos-conibo. Dans cette science initiatique, il y a des moments de grâce et aussi des passages infernaux et des gouffres géants et béants menant tout droit aux enfers à traverser. Des passages ou notre corps est déchiré, déchiqueté et écartelé.. Beaucoup de visages de la mort à traverser et Daniel disait toujours : « il faut souffrir pour apprendre »


J’ai suivi les enseignements du monde végétal dans mes premiers cycles sous la tutelle de Don Daniel afin de devenir ce qu’il aimait nommer « un docteur végétaliste ». Le processus de la transmission initiatique passe par ce qu'on appelle en Amazonie la dièta de plantas. Il s'agit d'un processus intime avec les esprits et génies de la forêt qui passe par des privations et une épuration afin de rentrer dans un temple bien gardé du monde prophane. C'est un contrat, un pacte avec des Esprits du règne végétal durant lequel on s’engage à respecter certaines règles comme ne plus manger de sel, de sucre, d'épices, d'alcool, de porc ect et à ne plus avoir de relations sexuelles durant le temps du processus, tout en étant isolé et immergé dans la forêt pour recevoir son enseignement.


Don Daniel disait que pour être en bon chamane (1er niveau) et mériter ce titre, le minimum était de passer au moins par une diète de base longue de 6 mois minimum. Sans hésiter, j'ai accepté ce contrat. J'ai économisé. J’ai rendu les clés de mon appartement en France et je suis parti 1 an pour dièter 9 mois consécutifs avec lui. Au détriment de ma vie matérielle et sociale j'ai fait le choix d'aller au bout d'un processus avec intégrité et entièreté. Je me suis retrouvé Isolé dans la jungle, a 22 heures de pirogue de la première ville (Pucallpa) et seul face à moi même j’ai purgé drastiquement mon organisme et mon être.


J’ai appris à travailler avec l’énergie des plantes maîtresses. Dans les prescriptions, tout le règne végétal y passait : plantes, arbres, lianes, cactus, plantes médicinale etc... Je les appliquais en interne, en externe. En fumigation, en bain, en collyre dans les yeux ! Tout cela accompagné d’un repas par jour de riz et de patates et agrémenté de jeûns fréquents. Un programme intense en compagnie des moustiques et des esprits de la nature avec beaucoup beaucoup beaucoup de prises d'ayahuasca.


Pendant tout ce temps il m’est arrivé pas mal d’anecdotes.


Je me suis fait piquer le postérieur par une grosse araignée vénéneuse. Je me suis intoxiqué et j'ai frôlé la mort avec des doses trop fortes (erreurs de dosage) de décoctions de tabac 🙂 rite de passage du Tabaqueros) et d'autres plantes très toxiques voir mortelles suite à des erreurs graves et aussi de mauvaises intentions volontaires du maestro qui a basculé dans la malveillance et la sorcellerie. Je me suis fait attaquer et volé du pouvoir acquis avec le temps et la force de mes diètes par des bujos : sorciers noirs locaux. Certains ont voulu ma peau. Et j'ai visité le monde de la magie noire de très prêt. Culturellement, en Amazonie, c'est un sport ancestral local très usité. Pour des histoires de jalousie et d’argent, beaucoup de mauvais chamanes sont prêts à faire le bien comme le mal ! J’ai traversé de nombreuses nuits blanches pendant ces premiers cycles et ces premières années de diètes et faillis tomber plusieurs fois mais je suis toujours là, miraculé et bien vivant.


A mon retour, le temps d’intégration a duré des années où je suis resté au fond du « puit »et visité par la faucheuse dans les rêves. Un niveau de stress a donner des cheveux blanc...


Jusqu’à sa mort et encore après, la rencontre avec Daniel aura été une rude épreuve….


Emaha et d'autres personnes influentes me l'ayant conseillé vivement comme étant le "grand maestro", je n'ai pas remis en cause cela et me suis remis dans ses mains aveuglément. Et plus tard et trop tard elle me dira "Va t-en!" A mon retour en France , elle me dira: "il a essayé de me tuer et j'ai bien failli ne pas revenir... j'arrête tout! la médecine c'est fini!" elle est décédée quelques temps plus tard d'un accident brutal.


De mon coté, j'ai failli plusieurs fois tomber aussi et il faut vraiment connaitre le monde de la sorcellerie Amazonienne et tous les faits divers pour comprendre la réalité cauchemardesque et redoutable de ces pratiques. Heureusement j'avais diété des arbres puissants qui m'ont sauvé la Vie, notamment l'Ayahuma qui l'a mis en pièce. Et c'est lui qui en est mort. En ce qui concerne mon sors. je m'en tire simplement avec de graves séquelles. Les plantes et les mauvaises intentions m'ont infesté et ne trouvaient pas leurs espaces dans mon corps. Elles sont devenues agressives et épineuses. Sur le file du rasoir, je me suis accroché à la Vie et j'ai tenu... Je me réveille la nuit en sueur en France avec des rêves et visions chocs de portes d'entrées enfoncées par un caddie, des virotes (flèches énergétiques) qui fusent et des dommages collatéraux. ect


Ne sachant plus comment faire, je me suis défendu en rendant a césar ce qui appartient a césar et j'ai beaucoup prié pour lui.


Je rencontre ensuite les Shuars qui considèrent qu'un ennemi est plus dangereux mort que vivant.


Leurs ancêtres étaient les réducteurs de tête et ils savent régler ce genre de choses par différentes techniques propres a leurs cultures.


Je précise aussi qu'ils sont de très très bons guérisseurs avec de très bons résultats pour les cancers graves.


​En parallèle avec les cycles des initiations Shuars, je retente le coup avec des Shipibos au Pérou avec d'autres maestros d'une autre communauté.


Ils ont tenté de me soigner et d'extraire les mauvaises plantes, les énergies malveillantes et magie que Daniel m'avait fait boire à l'époque. Ayant été intoxiqué, un long travail de régénération, de reconstruction et de revitalisation a suivi.


C'est aussi là, bien des années plus tard que les souvenirs de frayeurs et de traumatismes sont remontés à la surface.


Des choses que j'avait oublié ou mis volontairement de coté.


Il s'agissait de mon premier empoisonnement avec une plante virulente que Daniel m'avait donné a mon premier voyage chez lui avec une Brugmansia Datura mélangé à de l'ayahuasca.


Je m'étais étouffé en vomissant sous la force du brevage et j'étais sortie mm de mon corps qui avait alors arrêté de respirer un temps puis, par je ne sais qu'elle mystère un retour à la vie.


En Amazonie, on appelle ce type de peur ou de frayeur traumatiques un "Susto".


Je n'étais pas encore au bout de l'histoire car ce nouveau chamane, (déja rencontré aussi à l'époque de Daniel) en voulant me soigner a encore fait un beau "surplus" d'erreurs en me donnant une plante mortelle qui ne se boit pas mais s'applique uniquement en externe selon certaines conditions ( Le Catawa jaune, poison balls)*


Je persévère et rencontre enfin un maestro avec une éthique suffisante pour accepter de faire une partie du travail de nettoyage avec suffisamment de compétences et j'entame un cycle de 1 an de diètes avec lui, échelonnée sur 2ans. J'avais essayé d'autres traditions, d'autres cultures chamaniques du monde et même d'autres médecines mais rien ne pouvait y faire. Il fallait que je retourne voir les specialistes des plantes pour détricoter tous les noeuds que ce sorcier végétaliste avait fait. Un vrai labyrinthe.


Le maestro m'enlève 36 plantes du corps, cérémonies après cérémonies, dans un rythme marathonien. Chaque Shitanas, chaque plante a enlever est un vrai cauchemard, de vraies épreuves surhumaines. Je dors très peu, certaines nuit je mets mon réveil à sonner toutes les 3O mn pour éviter de dormir afin d'éviter de me faire assaillir par les attaques. Je suis épuisé, squelettique.


Il m'enlève en tout 27 virotes du corps (flèches invisibles de sorciers qui créés des dommages internes, voire les articles sur le sujet*) et m'apprend que Daniel était un Shitaneros, un sorcier qui en plus de me faire du mal ne m'avait pas transmis les arcanes des plantes (esprits) promis au contrat de dièta et que du coup, depuis toutes ces années, mes diètes n'étaient pas fermées, ce qui explique cet état que je trainais.


"Tu es un miraculé il m'as dit une bonne 50taines de fois" ( et je vais devoir témoigner et écrire un livre sur les pièges de l'Amazonie )


Pas étonnant que ma vie soit un cauchemar.


Quand il m'as extirpé l'esprit du Catawa il me dit pendant la cérémonie que l'esprit de l'arbre lui a brûlé les yeux.


Le lendemain matin j'ai pu constater à la lumière du soleil qu'il avait une cloque entre l'iris et le blanc de l'œil.


Il ne plaisantait pas. (D'ailleurs les bûcherons qui coupent cet arbre doivent porter une combinaison intégrale et des lunettes de protection sans quoi ils peuvent perdre la vue si une goutte de sève vole vers leurs yeux.)




J'appuie sur l'accélérateur, je reprends la diète longue durée, avec un nouveau Maestro Shuars d'Equateur: "Don Luis Ricardo Tsakimp".


J'entame ensuite le 2eme puis le 3eme niveau d'Iwishine. (en équateur, l'Uwishine est un médecin traditionnel ancestral) Ricardo est le Président du conseilsdes uwishines d'équateur connu pour ses remarquables guérisons de cas de cancer en phase terminal. "C'est une question de puissance me dit t'il"... c'est pourquoi il faut se former longuement et cumuler les diètes d'apprentissage (période de transmission) afin de cumuler de la force afin d'être plus puissant que la maladie à traiter.


J'ai continué d'apprendre sans relâche. Je refais des bilans de santé et des bilans énergétiques. Plus rien, tout a disparu.


Je continue encore d'apprendre, je fais de nouvelles rencontres, je quitte les sentiers des indigènes pour aller voir d'autres contrées, d'autres cultures de praticiens.


Je vais à la rencontre des copains Français installés là bas depuis un bon moment qui ont ouvert des centres et ayant des parcours et des CV similaires au mien. De très belles rencontres.



Je vais rencontrer aussi le docteurs Jaques Mabit fondateur du centre Takiwasi, une clinique et un centre de recherche des médecines traditionnelles et modernes dans la région de Tarapoto. Je vais le voir pour un contrôle technique et passer sous le scan et une évaluation diagnostic.


Il me dit: " Tout est parfait, il n'y a rien a dire. C'est propre. Beau travail. Félicitation"


J'ai le Feu Vert de Jaques, référence dans le domaine.


Son diagnostique vient alors clôturer une longue et intense épreuve d'initiation de 23 ans.


Mon expertise commence a sérieusement évoluer. Je continue à étudier la théologie, les traditions spirituel du monde, les archétypes ect J'ai un objectif, une direction, faire tous les efforts nécessaires pour devenir un sage et faire ma part à ma place. Avec l'espoir d'ouvrir un centre de médecine traditionnel.


Mes Icaros ont gagnés en pouvoir, en précision, en maturité et en efficacité. Je récolte les premiers fruits et l'arbre semble prometteur et prêt à donner pour un travail bien fertile et démarrer un nouveau cycle sur l'établi.


Le chemin continue et voila un petit résumé de mon histoire.


Je n'ai pas partagé l'autre partie qui est la médecine que j'ai développé en parallèle à ces épreuves qui est un autre chapitre et qui ne se partage que de visu dans la pratique concrète de la médecine des plantes et sur l'établi du curandero végétaliste.

(ainsi que la compréhension de la manifestation de toute cette série d'épreuves )



La suite au prochain épisode, si vous avez aimé me lire et que vous avez des contactes littéraires ou des maisons d'édition, merci de partager. J'ai pour projets de d'écrire.


Bénédiction








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